Ta beauté m'a
aveuglé
progressivement
comme un chagrin grandissant.
Même les yeux clos
je t'aperçois
dans chaque coin de ma mémoire
et je te respire.
T'a voix m'a
abasourdi
lentement
comme une chanson
envoutante.
Les oreilles
sourdes
je t'entends dans
chaque pore de mon corps
et je t'aspire.
Ta marche m'a inspirée
à pas comptés
d'une sarabande
progressivement
endiablée,
et j'étouffe.
Ta personne m'a
frappée
doucettement
comme on découvre
un être
qu'on souhaite
incarné sois même
tant tu es
désirable
et je te bois.
J'avale assoiffé
les syllabes que
tu m'offres
et je chavire
de l'autre coté
assouvi
dans l'infini.
Chaque fois que je lis un de vos ouvrages,Guy, je suis de plus convincu du fait que vous êtes un grand artiste.
ReplyDeleteTres tres beau cette mots